Il a collé son chewing-gum sur ma joue.
J’avais peur de sauter, il attrapé ma main.
Je n’ai pas eu le temps de protester, mon cœur est resté sur le bord et mon corps
a été aspiré, d’interminables minutes et quelques secondes en plus.
Nos deux bassins ont été engloutis, puis nos visages.
J’ai senti la pâte chaude entrer dans chaque pore de ma peau.
Je ne pouvais plus respirer mais peu m’importait, sa main tenait toujours la mienne,
à m’en arracher le membre.